Face au renchérissement des hydrocarbures, la Banque mondiale envisageait une production charbonnière de l'Afrique (hors Afrique du Sud) sautant de 4,5 Mt en 1970 à 31,90 Mt en 1990. Peu après, la World Coal Study (WOCOL), plus prudente, ne retenait que 23,65 Mt [4] .